SIDA et Mucoviscidose.

 La Mucoviscidose apparaît par clairvoyance ou au clair ressenti comme une grosse inflammation brûlante dans les poumons. Les parasites se présentent comme des poches purulentes de larves qui se nourrissent du mucus intérieur. La mère à l'extérieur ressemble à un énorme moustique. 

 

Ils ne s'installent qu'en raison d'une défaillance de l'ADN. Celle-ci vue par clairvoyance se présente comme un cocon entourant une petite partie d'une des 2 spirales de l'ADN, ce qui freine la circulation d'énergie à l'intérieur de celle-ci. 

 

La défaillance ADN constitue une prédisposition, mais elle peut être rectifiée par l'aide d’esprits de la nature d’une part et d’autre part avec ou sans correction ADN, la mucoviscidose peut être harmonisée par la Curothérapie comme indiqué dans le livre "Harmonisation Energétique des Personnes".

 

C'est une maladie assez tenace et il faudra renouveler les actions tous les 3 jours jusqu'à satisfaction. La durée des harmonisations dépend de l'état de son installation et des dégâts occasionnés au moment du début de la prise en charge en curothérapie.


Le SIDA : 


Être atteint du SIDA, c'est avoir un système immunitaire affaibli au point de ne plus être en mesure de se défendre contre des maladies opportunes, qui profitent de la chute des défenses naturelles. Le développement de ces maladies opportunes : cancers, pneumonies... et autres, entraîne la mort de la personne infectée. Personne n’est jamais mort du SIDA mais d’une maladie qui aurait pu être occasionnée par une défaillance du système immunitaire et donc peut-être du SIDA.



      Le pseudo virus appelé VIH, responsable de l'effondrement du système immunitaire n'a JAMAIS été VU au microscope ni pris en photo par qui que ce soit (selon les témoignages des médecins). Le terme Syndrome d'Immuno Déficience Acquise a été popularisé par les médias en 1983. La séropositivité n'est donc pas révélée par la présence de virus (puisqu’il est inconnu) mais par la présence d'anticorps censés lutter contre cette infection (Test ELISA et Western Blot ou Test HIV). Toutefois, ces anticorps sont les mêmes que pour 70 autres maladies : tuberculose, malaria, lèpre, herpès et même vaccin de la grippe, transfusion sanguine ou état de grossesse. Et le test HIV est pratiqué différemment selon les pays : 2 molécules suffisent en Afrique alors qu'il en faut 4 en Australie. Donc le séropositif en Afrique ne l'est pas en Australie et il ne l’est pas en Angleterre qui ne valide pas ce test. 

      Le professeur Luc Montagnier (supposé avoir découvert le virus) indique publiquement dans ses conférences "qu'il suffit d'une bonne hygiène et d’une bonne alimentation pour éviter une crise d’immunodéficience". Il est décédé dans l'anonymat, alors qu'il proclamait sur les réseaux que la médecine était devenue commerciale à la solde des grands laboratoires.

 

     Les premiers décès popularisés comme étant surnommés du SIDA étaient des décès dus aux excès de drogues (sarcome de kaposi). Ensuite, de nombreux décès d'hémophiles ont été dus, aux médicaments toxiques préconisés : l'AZT un agent de chimiothérapie inventé pour tuer les cellules cancéreuses il y a plus de 30 ans, et abandonné car trop dangereux… puis il a été imposé à de très nombreuses personnes classées comme cas de SIDA.

 

      Conclusion : il n’y a pas de virus du SIDA identifié, et le test du VIH ne sert à rien (selon les médecins). En revanche nous constatons en Curothérapie par clair ressenti et clairvoyance qu'il existe bien un parasite planté au niveau bas ventre, qui se nourrit du système immunitaire et diminue son efficacité. Nous le percevons sous apparence d'un calamar astral rouge fixé sur le bas-ventre, avec de longs fils reliés à l'intérieur où il puise l'énergie. Il peut y en avoir plusieurs et une mère peut se trouver au-dessus.

 

Après enlèvement des parasites et quelques soins décrits dans le livre, l'état de santé se régénère très vite. La difficulté est de se sevrer des médicaments physiques imposés...

 

Le soin du SIDA en curothérapie provoque toutefois un effet secondaire, comme indiqué dans ce cas vécu ci-dessous.

 

Cas vécu : Un jour est venu nous voir un homme à l'aspect très fatigué, le visage blanc et l'énergie au plus bas, qui a dit "Voilà, j'ai appris que vous faisiez des soins énergétiques, et je suis venu vous voir car j'ai le Sida depuis plus de 20 ans. J'ai tout essayé comme médicaments, j'ai beaucoup souffert et j'en ai assez. Pouvez-vous faire quelque chose pour moi ?" 

 

Nous avons donc testé et avons constaté la présence d'un gros parasite énergétique fixé sur le bas-ventre. Nous l'avons enlevé, ainsi que la mère, et avons continué les soins énergétiques généraux habituels (enlèvement des autres parasites, des chocs, des blocages, des mémoires, des liens etc.). A la fin de la séance ce visiteur était visiblement plus lumineux et en meilleure forme. 

 

Il est revenu la semaine suivante pour un second soin.

En vérifiant nous avons constaté la présence d'un autre parasite, mais beaucoup plus petit. N'avions-nous pas vérifié la fois précédente s'il y en avait deux ? A-t-il récupéré ce nouveau parasite au contact d'une autre personne ? Habituellement à la deuxième séance il n'y en a plus. Cela montre qu'il faut toujours bien vérifier, et renouveler les soins au moins trois fois par sécurité. Nous l'avons enlevé aussi facilement que le premier, et avons continué les soins de nettoyage globaux de TOUS les corps énergétiques, conformément aux protocoles de curothérapie prévus. Cet homme était déjà très content du premier soin, car il se sentait dans un état de bien-être physique qu'il n'avait jamais connu, selon ses dires. 

 

La troisième fois qu'il est venu, il est arrivé le visage soucieux. Il nous a déclaré : "Voilà, je suis très satisfait de vos soins, je ne me suis jamais senti aussi bien, je n'en reviens pas moi-même. C'est merveilleux par rapport à tous les médicaments que j'ai essayés et qui avaient des effets secondaires vraiment très désagréables. Je suis très heureux, mais aussi très inquiet. Cela fait 20 ans que je suis indemnisé par la sécurité sociale, parce qu'il s'agit d'une maladie considérée incurable. Puisque maintenant je suis de nouveau en bonne santé, ils ne vont plus vouloir m'indemniser. Je vais donc être obligé de trouver du travail, ce qui m'inquiète beaucoup. Je n'aurais plus d’argent si je ne travaille pas ! "


Quelques jours après, il nous a appris que la caisse d'assurance maladie ne cesse d'indemniser un Sidéen que s'il décide de sortir du protocole établi. C'est-à-dire s'il arrête de prendre les traitements imposés par des médecins et laboratoires. Notre homme a donc choisi de continuer à suivre ce règlement jusqu'à sa retraite. Mais un jour il nous a appelés en urgence. Il se trouvait à l'hôpital car sa santé s'était brusquement dégradée. Il avait subi un empoisonnement général dû aux nouveaux médicaments du protocole, selon les propres dires des médecins. Nous sommes intervenus pour le "nettoyer" de cette complication et le remettre sur pieds, en lui conseillant d’éviter de se faire empoisonner... Il a tenu ainsi jusqu’à la retraite et est aujourd’hui thérapeute en auto-entreprise.

 

Nous avons proposé aux associations de lutte contre le SIDA ou la mucoviscidose de mettre en pratique la Curothérapie sur leurs malades... aucune n'a répondu.