La médecine intégrative est l’association de la médecine conventionnelle et des thérapies complémentaires.
De tous temps, des thérapies alternatives ont été pratiquées parmi toutes les sociétés (soins aux plantes – magnétiseurs – coupeurs de feu – rebouteux). Elles le sont encore occasionnellement par tous. Sans contrôle médical, elles peuvent quelques fois, être plus nocives qu’efficaces. C’est le cas des magnétiseurs qui calment les maux par un apport d’énergie. Le mal peut s’arrêter (douleurs), mais dans d’autre cas les symptômes sont endormis et le mal continue sa progression (cas de cancers notamment).
Ces thérapies ne sont pas enseignées en médecine conventionnelle, pourtant certaines fonctionnent (cas des coupeurs de feu après une affection en chimiothérapie). Elles doivent donc être intégrées, mais sous contrôle scientifique. Depuis longtemps des hôpitaux sollicitent des guérisseurs ou des « voyants » dans l’anonymat. Mais ceux-ci ne veulent plus être dans l’anonymat et veulent faire partie des acteurs thérapeutiques reconnus officiellement et c’est un phénomène mondial.
Dans le monde :
Les professeurs américains Andrew WEIL et David EISENBERG font partie des précurseurs de la médecine intégrative aux États-Unis dans les années 1990. Il existe une quarantaine d’instituts universitaires de médecine intégrative en Amérique du Nord et 86 dans l’ensemble du pays. En 2014 la médecine intégrative est reconnue par le conseil de l’ordre des médecins américains.
En Suisse :
Des centres de médecine intégrative voient le jour partout en Suisse, mais se heurtent aux conflits d’intérêts propres au secteur de la santé. Dès 1994 la loi sur l’assurance maladie obligatoire inscrit quatre médecines complémentaires dans la liste des prestations remboursées. En 2014 elle concerne 130 thérapies. En 2019, 36 000 médecins sont associés à 20 000 thérapeutes non-médecins. Ils estiment qu’en 2030, 65000 soignants additionnels seront nécessaires car la médecine intégrative soigne mieux et à moindre coût.
En France :
C’est surtout la Ligue contre le cancer et des centres tels que l’Institut Raphaël, le Centre Vitruve, la Maison Rose Up et l’Atelier de Cognacq-Jay qui proposent des soins complémentaires en accord avec leur comités médicaux et scientifiques.
En 2020 s’est constitué l’Observatoire des Médecines Complémentaires non conventionnelles au CHU de Nice autour du doyen de la faculté de médecine (omcnc.fr). 150 000 médecins et 178 000 paramédicaux les pratiquent en Europe. L’ordre national des médecins reconnait que tous les Français utilisent occasionnellement ces thérapies alternatives. Mais elles doivent être surveillées par les services médicaux comme c’est déjà le cas aux Etats-Unis, en Allemagne, en Belgique, en Suisse et en Italie.
La France l’hypnose médicale, l’acupuncture, la méditation, la phytothérapie et l’EMDR sont enseignées dans les universités de Paris, Lyon, Marseille, Nantes, Strasbourg, Amiens, Lille, Dijon, Tours, Rennes, Montpellier, Nice, Nîmes et Nancy. Outre l’OMCNC (2020 Nice) d’autres associations évaluent et observent les thérapies complémentaires : le Collège Universitaire des médecines intégratives CUMIC (2017 Nantes), le groupe d’évaluation des thérapies complémentaires GETCOP (2022 Nancy), l’ICEPS (2015 Montpelliers), le C2DS (2007 Montlouis/Loire). En mars 2022 a été inauguré au CHU de Bordeaux l’Institut de médecine intégrative et complémentaire (IMIC) qui est une unité du pôle de neurosciences.
Que font les ARS ?
Les Agences Régionales de Santé sont chargées, en France, d'assurer un pilotage unifié de la santé en région, de répondre aux besoins de la population et d'accroître l'efficacité du système. Leur rôle est de vérifier que la réglementation, en termes de qualité ou de sécurité des soins, est appliquée. Il est aussi de répondre aux réclamations des patients qui estiment ne pas avoir eu droit aux meilleurs soins, selon la situation rencontrée : hôpital, Ehpad, transport sanitaire, professionnel de santé etc.
Elles financent de plus en plus la médecine intégrative.
Dans le Puy de Dôme, sous la coordination de Mme Catherine FOULHY, les soins de nutrition, psychologie, activité physique, sophrologie, réflexologie, socioesthétique, sont pris en charge par des subventions ARS dans le parcours de soins contre le cancer.
A Paris ce sont aussi des soins de sonothérapie qui sont pris en charge.
A Bordeaux, les massages sont pris en charge.
La curothérapie
La curothérapie est une thérapie holistique (globale) énergétique (sans contact physique) et quantique (possible à distance) qui se consacre aux corps énergétiques de l’homme et à son lieu de résidence. C'est une thérapie douce (sans douleur ni effets secondaires) qui comprend des techniques naturelles (naturopathie) et énergétiques (magnétisme…). Elle se révèle efficace lors d’affections générales (rhumatismes, dépression, burn out, arthrose), de cancer, de maladie neurodégénérative débutante (Alzheimer), de maladie auto-immune…
Elle est basée sur la perception des fréquences au clair ressenti (et à la clairvoyance). Et c'est aussi de la physique, comme l'a expliqué Albert EINSTEIN.
Mais, quelles que soient les explications, seul le résultat compte pour évaluer l’utilité. Et celui-ci ne peut être estimé que par ceux qui ont testé la Curothérapie, alors laissons-les parler et regardez sur ce sujet leurs témoignages.
La médecine intégrative aux USA est reconnue par l’ordre des médecins. Elle est adoptée dans 86 facultés de médecine et hôpitaux. Elle intègre des thérapies alternatives en complément de la médecine conventionnelle.
La Curothérapie ne traite pas :
Crudivorisme, Reiki, constellations familiales, Chamanisme : > car dangereux.