La cause des maladies nosocomiales est due à plusieurs circonstances défavorables, réunies dans les hôpitaux que l’on peut classer en 4 catégories.
La première est constituée par la grande quantité de mémoires négatives de souffrance et d'inquiétudes. Elles s'accumulent dans les lieux, les objets et les murs.
Les lieux et les objets se chargent des mémoires énergétiques négatives de souffrance, là où elles ont été vécues, si ces énergies ont été émises par des pensées intenses. Les hôpitaux conservent les égrégores énergétiques de souffrance, amplifiées par les émotions. Souffrances des malades et souffrances des membres de leurs familles qui leur rendent visite. Lorsqu’elles sont répétées, comme dans un hôpital, le lieu se charge de plus en plus, négativement.
Dans une maison de suicide, de crime ou de maladie, la mémoire affecte les occupants tant qu’elle n’est pas nettoyée énergétiquement . S’il y a eu dépression puis suicide dans une chambre, les successeurs vont ressentir le mal-être et en être affectés. De même, les pensées de colères, de mécontentement, de haine… se mémorisent dans les lieux et objets où elles ont été exprimées. L’accumulation journalière de ces négativités affecte les personnes. Dans un hôpital cette accumulation est évidente et logique, y compris dans les hôpitaux psychiatriques. Plus l'hôpital est actif ou ancien, plus il est chargé de mémoires énergétiques négatives qui affectent et affaiblissent autant les patients que le personnel médical.
Le second facteur négatif est dû à la présence d'une multitude d'âmes en peine qui s'y promènent et contribuent à baisser l'énergie des lieux en vampirisant, bien malgré elles, les énergies des vivants, sur leur passage.
La perception d'âmes en peine est une fonction basique des Curothérapeutes mais aussi de toute personne éveillée. Le personnel hospitalier est de plus en plus nombreux à s'en rendre compte. Des exercices simples décrits dans les livres permettent à tous de les percevoir sans équivoque, de dialoguer avec, et de les aider à s'élever.
La première raison de leur présence est que certaines personnes ont vécu simplement dans un milieu isolé ou fermé et au moment de leur mort, elles ne s’élèvent pas parce qu’elles ne le conçoivent pas. Elles peuvent rester ainsi indéfiniment, des dizaines d’années, jusqu’à ce qu’il se passe une circonstance particulière. D'autres ont été mal éduquées spirituellement, par des religieux ou éducateurs ignorants qui leur ont dit toute leur vie qu'il n'y a rien après la mort. Alors elles refusent de se laisser aller car elles ont peur de disparaître à jamais. D'autres sont attachées à leur famille et à leur maison et ne veulent pas partir. Une autre catégorie remplit les bancs d'églises et de temples, y compris les bancs des prêtres et des évêques. Il s'agit de celles qui attendent quelque chose qui n’arrive pas (St Pierre, Jésus, Allah).
Les défunts se visualisent pratiquement toujours comme ils sont au moment de leur mort, parce qu'ils pensent qu'il ne peut pas en être autrement. Une personne décédée lors d'un incendie, se percevra (par clair ressenti), se verra (par clairvoyance) et se sentira (à l'odeur physique) comme carbonisée. Une âme en peine décédée depuis longtemps et sortant d'un cimetière très ancien, peut se percevoir comme un squelette en putréfaction (odeur comprise). Il n'y a toutefois aucune peur à avoir, en présence d'une âme en peine, quelle qu'elle soit.
Le troisième facteur provient de l'importante quantité de parasites (esprits des maladies) qui s'y trouvent et qui sont détaillés dans le livre consacré à l'harmonisation des personnes.
Les maladies progressent lorsqu'un parasite éthérique entretien cette progression. Il y a au minimum autant de parasites différents que de maladies. Comme pour les parasites physiques, ils se reproduisent sous forme de bébés, de larves et d'œufs, qu'ils peuvent déposer sur les nouveaux malades arrivants. C'est valable pour les plus petits (les micro-parasites occasionnant la fibromyalgie, l'arthrose, la putréfaction...) jusqu'aux plus gros (qui occasionnent les dépressions, l'envoûtement ou la démence psychiatrique). Ils s'installent toujours lorsqu'un état de faiblesse le permet, et les nouveaux malades sont des terrains propices à cela. Etant en famille, ils sont donc beaucoup plus nombreux qu'il y a de malades.
A cela s'ajoutent de nombreux problèmes de géobiologie, comme partout, et d'autres problèmes spécifiques encore plus importants que dans les lieux ordinaires.
Comme partout, se trouvent des points d'affaiblissement du sol (voir le livre : Harmonisation du Lieu), des champs électriques et magnétiques de tous les appareils, ainsi que tous les autres phénomènes qui affectent les lieux en général.
D'autres phénomènes géobiologiques spécifiques peuvent aussi affecter les personnes dans ce lieu. Il s'agit des champs électromagnétiques générés au niveau des lits électriques, qui sont indispensables pour faciliter la mobilité du personnel hospitalier. Etant branchés en permanence, ils peuvent occasionner par les champs électromagnétiques des moteurs et des fils, une faiblesse et une fatigue supplémentaire pour les malades. Ce seul fait peut occasionner des défaillances comme vous pouvez le lire à la page des "cas vécus".
D'autre part, des cheminées cosmotelluriques de basse fréquence sont attirées par les états de souffrance, et sont d'autant plus nombreuses en ces lieux. Elles perturbent les énergies et la vitalité normale des personnes. Elles affectent tout le monde, malades et les personnels médicaux.
A ceci se rajoute le fait que les malades reçoivent des traitements chimiques qui peuvent perturber le corps par leurs effets secondaires, ainsi que les radiographies aux rayons X, les irradiations, les chimiothérapies...
Conclusion : les maladies nosocomiales pourront être réduites quand les thérapies énergétiques seront prises en compte. Les malades en bénéficieront, ainsi que le personnel médical ! car selon les statistiques nationales il y a 4 fois plus de suicides parmi le personnel hospitalier que la moyenne générale.