FAQ des scientifiques et découvreurs de la Curothérapie.
Q : Est-ce la Curothérapie est censée remplacer la médecine ?
— Ce sont deux choses très différentes. La médecine traite le corps physique, la curothérapie se consacre à l’harmonisation des corps énergétiques de l’homme et de son habitat. Elle n’a aucunement pour fonction de remplacer la médecine, mais de la compléter.
Les corps énergétiques ne font pas partie des programmes de formation, ni des techniques d'intervention de la médecine physique. Cette dernière traite les symptômes des maladies qu’elle perçoit de façon visuelle (œil et microscope) et comportementale (fatigue, douleur, inactivité).
La Curothérapie cherche les sources énergétiques perturbantes, par le clair-ressenti, et les traite de manière naturelle, sans traitement chimique.
Toute personne en mal-être peut suivre les prescriptions médicales et compléter ses soins par la Curothérapie afin d’améliorer plus rapidement sa santé, ou le faire par prévention afin de ne pas atteindre un état de maladie avancé. Ce principe de prévention et de complémentarité a été pratiqué depuis toujours et partout : sport, bonne nutrition, éviter les poisons (hygiène, propreté, choix, comportement…) etc…
Q : Comment percevez-vous des choses que la médecine ne perçoit pas ?
— La médecine est basée sur l’observation au microscope. Quant aux fonctions énergétiques, la science considère encore qu’il s’agit de réactions chimiques du cerveau et d’autres parties du corps. Toutefois les facultés de médecine enseignent aujourd’hui l’acupuncture, l’homéopathie, l’ostéopathie et l’hypnose ; des techniques basées sur des principes énergétiques.
En curothérapie la technique de perception de base n’est pas le microscope mais le clair ressenti. Il ne s’agit pas d’un don, mais d’une technique de perception que chacun peut développer par une pratique progressive spécifique.
Il ne s’agit pas d’un don mais bien d’un art que tout le monde peut apprendre au même titre que l’on peut apprendre à jouer de la guitare ou du piano.
Q : Pourquoi la Curothérapie aurait-elle plus d’effets, que la médecine ?
— Tout dépend du problème : s’il s’agit d’un accident de la route, la médecine est prioritaire puisque le corps physique doit être remis en ordre en premier. Mais s’il s’agit d’un cas de dépression ou de burn out, la médecine est démunie et ne propose que des traitements chimiques d’endormissement. Alors que la curothérapie dispose de techniques de nettoyages énergétiques plus rapides et précises, pour un résultat efficace.
Q : Est-ce que vous croyez que s’il y avait un moyen plus rapide de résoudre les problèmes de dépression, la médecine ne l’aurait pas déjà trouvé et mis en pratique depuis longtemps ?
— Il est évident que la médecine en a trouvé les principes. Elle a surnommé celle-ci médecine holistique, en se rendant compte que tous les évènements de la vie influent sur la santé et qu’il serait utile de soigner les personnes globalement, et plus uniquement selon les seuls symptômes du moment, pour obtenir des résultats plus durables. Holistique vient du grec holiste qui signifie « entier » ou « tout ».
Dans le mot Curothérapie, le mot Curo vient du latin Cura qui signifie « soin naturel global et complet ». De la même racine, on trouve les mots cure (faire une cure d’amincissement ou une cure de soins), toujours avec la notion de naturel et de complet, mais aussi les mots curatelle ou curer.
La curothérapie est donc une thérapie holistique. Peut-être celle que les médecins attendaient. D’ailleurs, parmi ceux qui nous sollicitent, se trouvent de plus en plus de médecins et de chirurgiens. Mais ils n’en parlent pas à leurs collègues, de peur d’être incompris ou mal jugés.
C’est une nouveauté ; et comme pour toute nouvelle vérité, s’applique la théorie d’Arthur Schopenhauer qui disait : « Toute vérité franchit trois étapes : d’abord elle est ridiculisée, ensuite elle subit une forte opposition, puis elle est considérée comme ayant toujours été une évidence ». Hélas nous n’en sommes qu’à la première étape semble-t-il. Nous sommes donc conscients qu’elle va être ridiculisée par les personnes qui la découvrent et n’ont pas encore compris son fonctionnement.
Q : Qu’est-ce qui prouve que cette thérapie est efficace ?
— D’une part il suffit de l’expérimenter pour le savoir. Tous ceux qui se sont mis à l’apprentissage de ces techniques ont commencé par les tester sur eux-mêmes. D’autre part tous les témoignages recueillis sur ce site (curotherapie.com) en sont aussi des justificatifs. Mais il est normal d’être prudent, car il existe effectivement énormément de thérapies alternatives inefficaces, voire mal pratiquées ou par intérêt plus commercial que thérapeutique. Il est alors normal pour tous de n’accorder sa confiance à tout thérapeute et à toute thérapie, qu’avec prudence.
Q : Un traitement à distance s’avère-t-il aussi efficace qu’un traitement sur place ?
— Oui, et parfois même plus, car le thérapeute peut alors se concentrer pleinement sur les soins sans être interrompu. Il pourra ensuite répondre à vos questions dans un second temps. Ce principe d'action à distance est ce qui a été surnommé scientifiquement de "quantique" ou "d'informations quantiques".
Q : Avez-vous des preuves plus scientifiques ?
— Il est vrai que plus on est âgé, plus on a du mal à remettre en question ses certitudes et connaissances, acquises au cours d’une longue vie d’études et d’expériences. Cependant, certaines choses peuvent aussi être ignorées, pour bien des raisons. On ne peut savoir QUE ce qu'on a appris. Et il est important de rester ouvert à toute nouvelle vérité, sans pour autant tout croire.
La Curothérapie fonctionne conformément à la formule l'Albert EINSTEIN.
Mais elle n’a pas été bien comprise par tous les scientifiques jusqu'à présent.
Pourquoi cette formule n'a-t-elle pas été bien comprise ?
Parce qu’il manquait un élément : le moyen de se mettre sur une fréquence particulière. Et ce moyen peut se faire uniquement par le clair ressenti pour le moment, vu qu'aucune invention ne le permet. Ce n’est pas un don, c’est un art que tous peuvent apprendre et mettre en pratique, avec un apprentissage progressif. Le plus étonnant est qu’avec le clair ressenti, nous ne percevons pas que les différents corps énergétiques et leurs problèmes ; nous percevons aussi les âmes en peine, les esprits de la nature, les saintes présences… car ils sont tous autour de nous, et nous pouvons même dialoguer avec. Cela remet en cause beaucoup de choses que l’enseignement public nous a imposées, et sur toutes les croyances : religieuses, physiques, scientifiques etc…
Le clair ressenti est la clef pour changer de dimension.
Tout le monde peut l’apprendre et même plus rapidement qu'on ne le pense.
Il faut pratiquer avec intégrité, avec le cœur et non avec le mental ; avec l’énergie d’amour et non celle de l’égo personnel. L’esprit trompeur ne peut en aucun cas réussir ni dans le clair ressenti, ni dans la perception et l’aide des esprits de la nature, et c’est très bien ainsi.
Q : Pensez-vous qu'un médecin, après 9 à 12 ans d'études, n'en connait pas plus que tous les pseudos thérapeutes énergétiques ?
— Le temps d’études des médecins est effectivement impressionnant. Pourtant, quel que soit le temps d'études, on ne sait que ce qu'on a appris. Si un patient vient avec un mal de tête, il ne lui demandera pas s’il se couche le long d’un mur émanant un flux électromagnétique.
Pour donner un exemple, nous avons parmi nos « patients » un chirurgien du cœur très réputé, qui est venu nous voir justement parce qu’il avait des problèmes de cœur. Il avait une femme et une maitresse, mais ne pouvait se séparer d’aucune. Bien sûr cela créait des blocages et des malaises au niveau du cœur physique, par accumulation d’inquiétudes stockées dans le corps émotif, que nous avons libérées.
Puis quelque temps plus tard ce fut pour un empoisonnement à la suite des 3 doses de vaccins obligatoires. Vaccins qui n’empêchent aucunement la maladie. Là encore nous l’avons nettoyé énergétiquement.
D’un autre côté de nombreuses thérapies ne sont pas efficaces, ni vraiment complémentaires à la médecine. Les techniques de jeun, de crudivores et même de végétariens posent souvent plus de problèmes, à la longue, qu’elles n’en résolvent, car l’homme n’est pas un ruminant. Les thérapies « psy » peuvent révéler des problématiques mais ne savent pas les enlever. Les magnétiseurs, les sophrologues et hypnologues endorment les maux sans les soigner. C’est efficace quelques fois, mais pas toujours.
Nous comprenons bien qu’avec tout cela, la méfiance soit de rigueur.
Inversement, si tout le monde se rendait compte de l’intérêt de la Curothérapie sur de nombreux maux, nous serions saturés de demandes. Il faut que l’éveil se fasse progressivement, et dans un premier temps, que la formation de thérapeutes se développe, car la demande en attente concerne 100 % des personnes.