L’Iode 131 s’intègre dans l’homme au niveau de la Thyroïde, créant un « cancer local » qui oblige une ablation de la thyroïde et une compensation à vie de thyroxine sous forme simple (à conserver au réfrigérateur) ou sous forme de comprimé avec conservateur (Levothyrox et équivalent).
Le Césium 137 s’intègre au niveau des muscles et donne une impression de rhumatismes douloureux.
Le Strontium 90 s’intègre dans les os et crée des douleurs assimilées à de l’arthrose.
Depuis le début de la construction des centrales nucléaires, sur environ 500 centrales, plus de 5 accidents majeurs ont eu lieu (Maïak 1957, Windscal 1957, Three Mile Island 1979, Tchernobyl 1986, Fukushima 2011). Le risque d'accident est donc supérieur à 1%. Le point commun de ces accidents, selon les déclarations postérieures des scientifiques, est le même à chaque fois : "tout était prévu, sauf ça..."
La majorité des alarmes, dans les gendarmeries environnant les centrales, ont été stoppées. Car lorsqu'elles se mettent en fonction, personne ne sait quoi faire, puisqu'il n'y a pas d'abris ni de mesure particulière à faire, à part dire à toute la population de se renfermer, ce qui créerait de la panique et des conflits politiques...
Les affections de la thyroïde se sont multipliées par 4 depuis le début de l'installation des centrales et le Levothyrox (ou équivalent) est devenu le 4ème médicament le plus utilisé.
Les politiciens ignorent le problème et continuent la construction de ces bombes à retardement, au motif de produire plus rapidement, plus d’électricité. Pourtant si l’on considère le coût de construction, celui des stockages à vie de matière radioactive et le coût de la déconstruction par la suite, ce n’est financièrement pas viable. Tous les autres moyens de produire de l’électricité sont moins onéreux.
Voici une petite vidéo pour mieux comprendre ce qui peut encore arriver.
Outre les accidents civils comme celui-ci, il en existe aussi d’origine militaire, plus ou moins bien gardés secret, quels que soient les pays.