Maladies créées par des parasites.


    Les énergies éthériques de l'homme et de l'univers sont au nombre de 12 : 3 éthers chimiques, 3 éthers vitaux, 3 éthers réflecteurs et 3 éthers lumières.

 

    L'éther chimique (de la Terre) est le ciment du physique.  Le 1er assemble les atomes pour construire les cellules. Le 2ème assemble les cellules pour construire les organes. Le 3ème assemble les organes pour construire le corps physique, et constitue aussi les parois du biochamp.

 

    L'éther vital crée et entretient la vitalité. Le 1er permet la reconstruction des cellules à l'identique (quand elles meurent, et selon leur programme ADN). Le 2ème est celui de la croissance, qui démultiplie les cellules, de la graine à l'enfant, et de l'enfant à l'adulte. Le 3ème relie corps et âme, c'est l'énergie de vie et d'amour universelle.

 

 

    L'éther réflecteur alimente nos systèmes réflexes. Dans l'iris de l'œil est inscrit l'état de santé de chaque partie du corps humain grâce à l'éther réflecteur. L’étude de ce phénomène est nommée l'iridologie. La présence de l'éther réflecteur omniprésent dans l'univers, rend possible la perception à distance. Par la radiesthésie nous pouvons constater sur un plan, toutes les particularités d’un lieu, à distance. Toute représentation d'une chose est donc reliée à celle-ci, grâce à la présence de l'éther réflecteur. C’est lui qui constitue l’espace quantique.

 

    L'éther lumière, omniprésent dans l'espace, permet d'agir à distance.

 

    Les parasites de nature physique : poux, puces... se nourrissent du sang ou de particules physiques. Les parasites de nature éthérique se nourrissent des énergies éthériques de l'homme et provoquent des maladies difficilement soignables. Par exemple les parasites de l'arthrose (en forme de mini crabes) consomment l'éther chimique des os. Les os se désagrègent car les molécules se dispersent, ce qui provoque leurs dégradations. Le cancer se nourrit lui d’éther vital, au point que les cellules n’arrivent plus à se régénérer à l'identique et une prolifération de cellules anarchiques se crée, qui caractérise cet état de cancer.


      Il existe des parasites qui consomment les énergies des cellules et créent de déchets visibles au microscope surnommés "virus". C'est pour cette raison que les virus (des déchets) ne peuvent pas être détruits par des médicaments, comme le font les antibiotiques sur les bactéries, puisqu'ils ne sont pas des êtres vivants, mais seulement des déchets de cellules (1000 fois plus petits que les bactéries).

         Il existe aussi des parasites qui dégradent des organes, mais ne génèrent pas de déchets visibles. Et comme au microscope les scientifiques voient la présence d’éléments du système immunitaire à l’endroit où se produit une dégradation, ils pensent que c’est le système immunitaire lui-même qui est le danger et le dégradeur. Ils ont surnommé ces maladies (plus de 80) d’auto-immunes. Alors qu’il s’agit des parasites éthériques qui agissent, se nourrissent et dégradent, mais qui ne sont pas visibles au microscope.

 

 

    Parmi les maladies auto-immunes les plus populaires se trouvent les maladies neuro-dégénératives (Alzheimer, Parkinson, sclérose...). Elles ont toutes pour point commun, une poche de parasites qui s'installent autour du cerveau et de la colonne vertébrale. Les parasites consomment l'énergie du cerveau, de la moelle épinière ou du système nerveux. La progression de la maladie et de la dégradation des cellules dépend de l'état de faiblesse de la personne. 

 

    Tous ces parasites sont de nature éthérique, et invisibles aux microscopes. Ils pourraient l'être, si des appareils étaient inventés pour le faire. Ils sont perceptibles par clair-ressenti et par clairvoyance, et sont facilement enlevables par les techniques pratiquées en Curothérapie en se mettant simplement sur leur fréquence, comme l'a expliqué Albert EINSTEIN



Les médicaments chimiques ne peuvent ni les enlever, ni les détruire. Ils peuvent juste endormir les douleurs physiques provoquées (anti-douleurs, somnifères...) ou affaiblir (par empoisonnement et destruction) la zone du corps attaquée (chimiothérapie, radiothérapie).

 

    


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